Sous le titre « ‘’On ne prête qu'aux riches’’ : l'écho de préoccupations de l'hagiographe de Goëznou dans un texte du dossier littéraire corentinien », nous avons fait paraître en ligne une notule dans laquelle nous envisageons que l’auteur du texte relatant le transfert des reliques de Corentin à Marmoutier [BHL 1955] a pu être influencé par celui de la vita de Goëznou, si tant est qu’il ne s’agit pas du même hagiographe. De telles attributions s’observent dans tous les cas où peut aisément s’appliquer le dicton : « On ne prête qu’aux riches ». Pour autant que l’argumentation développée le soit sous strict régime d’hypothèse, il serait dommage de se priver de rapprochements qui peuvent s’avérer féconds pour la reconstitution de l’œuvre d’un écrivain, en l’occurrence celle de Guillaume le Breton : « abondance de biens ne nuit pas », dit encore la sagesse des nations.